Dans le cadre de sa Politique de Qualité de Vie au Travail, la CEAPC mène actuellement une expérimentation auprès de collaborateurs volontaires, qui ont fait choix de tester le télétravail, un jour par semaine, à leur domicile. Le point sur cette nouvelle organisation.

Depuis quelques mois, 30 collaborateurs volontaires expérimentent le télétravail au sein de la CEAPC. Une initiative, qui s’inscrit pleinement dans le cadre de la Qualité de Vie au Travail et qui répond aux nouveaux enjeux de la politique Responsabilité Sociale et Environnementales (RSE) de la Caisse régionale.

En tant qu’employeur responsable, la CEAPC souhaite en effet développer une nouvelle organisation, qui vise à concilier activité professionnelle et vie privée, tout en réduisant son empreinte carbone, par une baisse des déplacements domicile-travail.

« Cette souplesse dans l’organisation du temps de travail est source de performance pour l’entreprise et permet aux salariés de bénéficier d’une meilleure qualité de vie », explique Valérie Bellanger, Directrice du Département Employeur Responsable.

En France, 64 % des salariés plébiscitent le télétravail
Et cette liberté d’organisation séduit de plus en plus de personnes, puisqu’en France, 64 % des salariés se disent favorables au télétravail, selon l’enquête menée en 2015 par Ranstad, leader en matière de services en ressources humaines (1).
Aujourd’hui, l’Hexagone compte ainsi 17 % de télétravailleurs (2), loin derrière nos voisins européens (30 % en moyenne dans les pays scandinaves ou anglo-saxons). Même si le télétravail peine encore à s’affirmer, il annonce une vraie révolution dans notre mode d’organisation et de management. Il faut dire qu’il offre de multiples bénéfices, tant pour l’entreprise que le collaborateur.
Horaires aménagés, souplesse, flexibilité… Selon le baromètre du télétravail 2015, réalisé par Zevillage et le cabinet Inférence, le salarié gère mieux son temps et sa vie personnelle, tout en faisant des économies en limitant ses déplacements. Pour l’entreprise, le télétravail est aussi une source de performance, qui permet de réduire l’absentéisme et les arrêts de travail, en offrant une meilleure qualité de vie.
Moins, de stress, moins de fatigue liée aux déplacements, plus de concentration : le télétravail semble donc voué à un bel avenir. Il demande cependant un véritable encadrement, fondé sur la confiance réciproque, l’autonomie et l’utilisation des nouvelles technologies de l’information.

La CEAPC à l’heure du télétravail
Forte de ce constat, la CEAPC a initialement réservé ce nouveau dispositif aux métiers qui ne nécessitent aucun contact physique avec la clientèle ou aucun accès aux applicatifs de gestion bancaire commerciale. Pour en bénéficier, les collaborateurs doivent justifier d’un an d’ancienneté minimum dans l’emploi, et être parfaitement autonomes afin de pouvoir travailler à distance. Le choix se fait sur la base du volontariat, avec une validation de l’équipe managériale. « Pour l’instant, le dispositif du télétravail se déroule sur une journée, précise Valérie Bellanger. Nous veillons à ce que chaque télétravailleur garde un lien fort avec son équipe et travaille en présentiel le reste de la semaine. »


Un espace propice au travail
Côté organisation, le télétravailleur doit disposer à son domicile d’un espace « bureau », propice au travail et d’une connexion Internet haut débit. En échange, la CEAPC met à sa disposition un PC portable avec une habilitation spécifique, un téléphone portable avec abonnement téléphonique. « Cette première expérimentation vise à vérifier l’opportunité de mettre en place plus largement le télétravail au sein de la CEAPC et de l’étendre à de nouveaux métiers ou secteurs. Nous allons capitaliser sur les retours d’expérience et les meilleures pratiques afin d’affiner cette nouvelle façon de travailler. »

 

En savoir + sur la CEAPC et la Qualité de vie au travail (QVT)

Les actualités RH et Marque employeur

** Les informations demandées sont nécessaires à l’envoi de la newsletter et ne seront utilisées qu’à cette fin.
Conformément au Règlement Général sur la Protection des Données personnelles (RGPD), vous disposez d'un droit d'accès aux données vous concernant et pouvez en obtenir la rectification ou exercer votre droit d’opposition en contactant le Délégué à la Protection des Données : Caisse d’Epargne Aquitaine Poitou Charentes, Délégué à la Protection des données, 1, parvis Corto Maltese- CS 31271 - 33076 BORDEAUX CEDEX ou par mail delegue-protection-donnees@ceapc.caisse-epargne.fr
Si vous ne souhaitez plus recevoir ces informations, il vous suffit de vous désinscrire. La résiliation à ce service est proposée à chaque envoi et effective avec un simple clic de désabonnement.

Nous sommes désolé, il semblerait que le navigateur que vous utilisez ne soit pas compatible avec notre site.
Nous vous invitons à le mettre à jour pour pouvoir profiter de notre site.